Poussières d’étoiles


Au bout du voyage sur mon monde brodé d’illusions
L’ombre de ton âme mesure la hauteur de mes rêves
Et tes murmures deviennent tempêtes sur mon cœur

Femme aimante, l’aube créatrice défait l’ennui
D’un nouveau matin ou je redeviens moins sage
Et recommence infatigable ma danse de pluie

Sur la lame de tes mots, je lâche prise pour que s’assoupissent
Ces étranges rêves qui animent et troublent mes nuits
Ou poussières d’étoiles, les amours oubliés exilent leurs consciences

Photo © Leszek Kowalski

Commentaires

Articles les plus consultés