Une étoile s’est tu


Sur les murs du souvenir le son bruyant d’une étoile s’est tu
Son silence froid et distant égrène mes heures
Pour renaître sans couleurs au coin de mes yeux.

Sur tes lèvres muettes s’oublie le rêve enseveli
Sous les pierres noires du désespoir de ne plus entendre
Le hurlement de tes murmures sur ma peau endormie.

L’Ennui m’accable de sa misérable rage
De ne pas avoir su écouter mes aveugles espoirs.

Plus rien n’existe…

…..j’erre sur l’empreinte de tes maux.

Ecris-moi Demain

Photo © Mary Kuzmenkova

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