Camelia



A tire d’aile quand même
Poème, destin papillon,
Pierre philosophale.

Mais le cœur ou crois tu
Qu’il se serait perdu.

Sur 3 notes à peu près
On se noie au ciel.

Plus loin qu’il n’y paraît
Par un soir écarlate.

Quand le réel au vif
Devient pays de légende.

Tu aimes les fauves fiers
Qui passe dans le sang.

Combien d’errances encore
Combien de sommeils de plomb
Pour que au réveil tu le saches,
Les rêves laissent leurs traces.

Photo © Katarzyna Rzeszowska (Amelia)
Texte© Pascal Sauvaire 30/04/2011

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