Coq à l’âne 2/2



L’équilibre du jour suffit à bien s’éprendre,
Les purs consentements sont de l’avance vive
Que le désir s’octroie.

Ma pauvreté aura toujours été que solaire et solitaire
Riment ensemble.

Il y a des jours catégoriques ou la lumière
Par mes yeux jette du sable blanc
Sur mes évidences,
L’encre alors ne frappe jamais faux.

Mon ivre imagination surgit entre
Audace et timidité
Et amenuise le fil du jour.
La transparence est sans angle

La femme aux yeux de vigne
Ouvre le ciel de ses promesses
Comme un route neuve.


Photo © Daniel Murtagh
Texte© Pascal Sauvaire

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