Grande roue



Il y a tant de portes
Qui battent
A l’infini
Tant de vraies
Solitudes
Qui tournent
Dans le corps
Tant de cris
De peurs bleues
De vieux rêves
Quel destin
Dans tout cela
Quel trésor en plein
Ou en creux
Quel chant d’infortune
L’arbre est sec
Le désert l’ignore.

Photo © leszek-bujnowski
Texte© Pascal Sauvaire

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