Nuit du Vendredi au Samedi


A apprendre le gout de l’amertume oublieuse
Toute confusion serait fortuite
A contourner l’impasse.

Le bal du ridicule confond encore la peau et l’air,
Et à surveiller les coins
Les intrépides croient aux solutions de bord
Les chorégraphes aux défis, retrouvent leurs intuitions.

A échanger de la matière
Les galaxies perdent la conscience de l’esthétique,
A confondre la nuit du Vendredi avec celle du Samedi
Le centre commercial de l’écrit se tait dans son masque fixe.

A être plus lentes que le temps
Les complaisantes dandinent.


Photo © schilte-and-portielje
Texte© Pascal Sauvaire

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