Biblio


La passion des bibliothécaires
Aucun cœur ne peut la contenir.
Elle déborde des rivières pavées de cailloux.
Tous la vive avec nous.

Dans cet amour né d’un livre
Dans le torrent de toutes ces voix,
Raisonne en langue Russe ou d’outre tombe
Un chant.
Ni partisan, ni abondance
Il est l’eau de l’imaginaire
La source du trop plein du cœur
Le sentiment d’origine, le gravier du temps

Buvons la pour guérir du mal d’être sourd.


Photo © scarabuss
Texte© Pascal Sauvaire

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