Clit


L’affolement vient de l’absence,
L’absence elle crève de désir,
L’infini coagule,
Le corps compose avec la réalité…
Ne plus entrer dans son sexe
Qui m’avale.


Baiser l’adieu et les murs
Séparation arbitraire,
Ton visage donne encore la fièvre,
Mes doigts gelés trouvent encore à écrire
Mais point de plaisir
Sur ton clitoris muet.

L’oubli sera mon feu.


Photo © Nádia Maria (2).jpg
Texte© Pascal Sauvaire

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